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Tour de France du Syntec Numérique en étape à Dijon le 24 octobre 2017

encart-syntec-241017.jpgL’actualité est dense pour les entreprises du secteur du numérique, depuis quelques mois. Une densité qui a incité Syntec Numérique, le syndicat professionnel des entreprises de services du numérique, des éditeurs de logiciels et des sociétés de conseil en technologie, à organiser un tour de France, axés sur trois grandes thématiques : les ordonnances Macron et leur mise en perspective, la réforme du Règlement général sur la protection des données (RGPD), et enfin la présentation du livre blanc Syntec sur l’innovation et les technologies. Ce tour de France faisait étape à Dijon le 24 octobre.


«Cette série d’interventions, précise Laurent Baudart, délégué général de Syntec Numérique, résulte de plusieurs constats : la transformation de nos adhérents et de leurs clients, en lien avec la montée en puissance des nouvelles technologies. Il y avait aussi la nécessité de faire un travail d’explication sur le RGPD, et enfin, il fallait faire le point sur les ordonnances Macron ».


Syntec Numérique fédère 2.000 entreprises en France. Une grande partie de l’activité de ces structures consiste à expliquer la transformation numérique à d’autres secteurs industriels, mais, paradoxalement, l’organisation professionnelle note que certains de ses adhérents ne s’appliquent pas à eux-mêmes ces notions de transformation numérique. « Nous nous sommes dit qu’il fallait agir de manière urgente sur cet aspect », reprend Laurent Baudart. Concernant la question des données personnelles, là encore, c’est le rôle des acteurs de Syntec de la mettre en place chez leurs clients. Pour autant, l’organisation a constaté que certains de ces professionnels n’étaient pas conscients des enjeux qui touchent à la nouvelle réglementation. « C’est d’autant plus important, souligne le délégué général, qu’on se rend compte que beaucoup de grands clients de nos adhérents, en France, ont tendance à renvoyer les obligations liées à la protection de ces données personnelles sur leurs sous-traitants. Or, l’amende, en cas de problème peut atteindre 4% du chiffre d’affaires... »


CAPITAL HUMAIN
Au sujet des ordonnances Macron, Laurent Baudart rappelle que dans le numérique, le capital repose beaucoup sur l’humain. Sur 2.000 adhérents, on trouve une très grosse part de PME et de TPE. « Il faut permettre à nos adhérents de se saisir très vite des opportunités historiques offertes par ces ordonnances. Dans ce contexte, nous voudrions créer une école de la négociation pour apprendre aux dirigeants d’entreprises de notre secteur à négocier. Nous croyons beaucoup à un équilibre vie personnelle-vie professionnelle. Le cadre social dans lequel nous évoluons, qui date de 1945, n’est plus du tout adapté aux jeunes, aux gens qui intègrent nos entreprises. Nous pensons que nous représentons un secteur qui peut être en pointe dans la définition d’un nouveau cadre social ».

 

Source : Le Journal du Palais

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